Exercice- « L'homme n'est qu'un roseau pensant » : accédez au QCM de ce cours du chapitre Citations en Philosophie Terminale.
Cest une citation de Pascal, philosophe du XVII e siècle. A travers cette citation, il cherche à caractériser la condition humaine. Pour caractériser cette condition humaine, il mobilise deux
Leroseau, poussant dans les zones humides, est l’image de la faiblesse et de la fragilité de l’homme. C’est en parlant de Jean-Baptiste, que Jésus utilise l’image du roseau. Nous connaissons tous cette célèbre pensée de Blaise Pascal : “L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau
BlaisePascal - L’homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant. de Blaise Pascal issue de Pensées - Découvrez une collection des meilleures citations sur le thème 30 citations autour des arbres
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Danscette vidéo nous allons analyser la citation de Blaise Pascal « L'homme est un roseau pensant ». Qui est extraite de la pensée suivante : "L’homme n’est
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La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. C’est donc être misérable que de se connaître misérable ; mais c’est être grand que de connaître qu’on est misérable. L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers entier s’arme pour l’écraser une vapeur, une goutte d’eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, puisqu’il sait qu’il meurt, et l’avantage que l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C’est de là qu’il faut nous relever et non de l’espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser voilà le principe de la morale. Roseau pensant. — Ce n’est point de l’espace que je dois chercher ma dignité, mais c’est du règlement de ma pensée. Je n’aurai pas davantage en possédant des terres par l’espace, l’univers me comprend et m’engloutit comme un point ; par la pensée, je le comprends.
Résumé du document Mort en 1662, à 39 ans, Pascal aura consacré ses dernières années à la réflexion philosophique et religieuse. Ses Pensées, parues à titre posthume, sont la trace, fragmentaire, des méditations d'un homme qui prend conscience, par la maladie et la souffrance, de la fragilité de la vie humaine. Or c'est précisément l'expérience de la faiblesse humaine qui révèle simultanément à Pascal où se trouve notre véritable grandeur. Cette recherche constitue le thème du fragment I, 10-11, un texte rendu puissamment évocateur par la richesse et la concision des images littéraires auxquelles il recourt au service de son argumentation. C'est d'ailleurs la figure de l'antithèse qui constitue la structure de ce texte qui oppose la faiblesse de l'homme à ce qui constitue sa grandeur et sa dignité ... Sommaire IntroductionI Vanité de l'hommeA. La vie de l'homme est précaire un rien le met en danger hyperbole, antithèse, métaphore du chêne et du roseau, modalisateurs de véritéB. Les biens de l'homme et la durée de son existence sont dérisoires comparés à l'étendue et à la durée de l'univers évaluatifs négatifsI Dignité de l'hommeA. Par sa pensée l'homme peut englober l'univers évaluatifs positifsB. Apprendre à bien penser est le devoir de tout homme modalisateurs de devoirConclusion Extraits [...] Or Pascal ne vise pas seulement, dans ce texte, l'adhésion du lecteur à une conception particulière du monde et de l'homme. La portée de son texte est morale. En effet, le modalisateur de devoir qu'est l'emploi de l'impératif travaillons donc à bien penser révèle le dernier élément de la thèse du texte si la pensée est le propre de l'homme, et la source de sa dignité et de sa puissance, le devoir premier de l'homme est en effet, d'apprendre à utiliser correctement cette faculté. [...] [...] Commentaire du texte de Pascal, Pensées, 10-11 Texte L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. [...] [...] Pas plus, bien entendu. L'espace et la durée, qui constituent les deux dimensions de toute matière existante, écrasent l'homme puisqu'il ne peut les englober. L'homme paraît aux prises avec un univers terrifiant les verbes écraserait et engloutit évaluatifs négatifs, soulignent cette disproportion infinie entre l'homme et l'univers qui le transforme en un point Les conséquences de ce constat donnent le vertige tout se passe comme si, en possédant davantage, l'homme était renvoyé à l'immensité de ce qu'il ne possède pas. [...] [...] Ses Pensées, parues à titre posthume, sont la trace, fragmentaire, des méditations d'un homme qui prend conscience, par la maladie et la souffrance, de la fragilité de la vie humaine. Or c'est précisément l'expérience de la faiblesse humaine qui révèle simultanément à Pascal où se trouve notre véritable grandeur. Cette recherche constitue le thème du fragment 10-11, un texte rendu puissamment évocateur par la richesse et la concision des images littéraires auxquelles il recourt au service de son argumentation. C'est d'ailleurs la figure de l'antithèse qui constitue la structure de ce texte qui oppose la faiblesse de l'homme à ce qui constitue sa grandeur et sa dignité. [...] [...] Les évaluatifs positifs noble et dignité établissent cette supériorité. Elle n'est pas vraiment démontrée dans ce fragment, si ce n'est par la négative puisque la force de l'homme ne peut venir ni de sa vigueur ni de ses richesses. C'est davantage la force de la formule qui frappe les esprits et convainc de la justesse de la thèse la métaphore du roseau pensant étrange au demeurant suscite l'étonnement en comparant l'homme à un végétal fragile mais doté de la plus précieuse et de la plus rare faculté. [...]
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